Une église est signalée au 10ème siècle : St Sauveur. En quel lieu ? De l’église signalée en 1521 subsistent des pierres tombales, dans l’allée centrale.
En 1671, l’église est remaniée (date linteau), puis partiellement réédifiée en 1835. (voir panneau dans le porche de l’entrée).
De la restauration du chœur en 1903, notons l’ensemble de vitraux sur le thème principal de la vie de la Vierge Marie.
L’église est sous le vocable de N.D. de l’Assomption.
Maître verrier de Lorraine, dont l’atelier était à Paris (dons de plusieurs familles du village).
La grande cloche baptisée en 1638 ‘Anne Joséphine’ (do dièse).
De 1847, place du champ de foire, (non loin du Monument aux Morts) en direction de Ranchot.
Dans le mur, reste d’un fragment de retable. Dalle funéraire Sardet. (voir A.Rousset).
Quelques tombes anciennes non entretenues : celle du "Russe", celles des familles de notables : Boichoz, Bonzon(côté sud: angle sacristie).
360 hectares de forêts dont une partie de la forêt d’Arne.
âgé de 330 ans environ. En 1992 : 35 mètres de haut, 1,79m de diamètre (à 1,50m du sol) et 10 mètres de fût avant la première branche. Route de Gendrey à Orchamps. (parking et fléchage).
au sommet de la colline vaste panorama sur le pays des avants monts et au sud par delà la forêt d’Arne sur le massif du Jura. (Guide Manufactura Jura).
une plante géante originaire du Brésil qui peut atteindre
2,50m de haut et 6,50m de large. C’est une Gunera Manicata (Gunere à grappin). Rue de la fontaine des Auges , 50m à gauche après la fontaine.
à l’angle des routes d’Orchamps et Ranchot, place du champs de foire, caché derrière le monument aux morts, une borne ancienne des chemins de grandes communications. Promenades diverses.
d’exploitation agricole à 1,2 ou 3 travées : habitation grange et écurie. Toit avec croupe ou 1/2 croupe. Portes de grange ou de cave, voûtées en anse de panier. Quelques exemples de porte jumelée à la fenêtre (45, rue richebourg : avec goulotte de l’évier).
citée comme exemple : type de ferme de polyculture à travées (n°7 rue du Clossardot : direction de Taxenne). Le linteau de la porte la date"16+88"
rue de la Fontaine des Auges (angle rue de la Claire) rappelle la production de vin à Gendrey.
Le linteau des portes : Hormis deux maisons, la plupart des linteaux sont situés rue Richebourg ou au centre du village de 1716 à 1799 (réf. circuit).
Mais un linteau plus ancien au 10/12 de la rue Richebourg mérite un arrêt, témoin de l’existence d’une maison construite en 1636, et restaurée 30 ans plus tard par un autre habitant : Anatole Perrin (inscription latine).
Quelques maisons plus cossues témoignent de l’importance de la fortune ou du rang social de leurs anciens propriétaires : les Boichoz, les Maires du village, Antoine Grenot, le receveur de l’enseignement Henri Millot, certains bourgeois de Besançon ou de Dole… L’étude du cadastre de 1816 et de ses registres permet de repérer ces propriétaires. (étude en cours)
Deux fontaines lavoirs ont été aménagées (après déplacement) : la fontaine des auges en direction de Sermange. Projet 1826 demande de devis à l’architecte Cretin de Dole (1859). Réception définitive en 1862 (archives Montmorot). La fontaine dite d’embrun en direction de Saligney. Devis de travaux en 1870. En 1876 elle est installée à son emplacement actuel.
Créee au 13ème siècle par l’Abbaye d’Acey(Vauchange) elle est constituée, avant la révolution, de Vassange du haut, Vassange du bas et St Aubin (propriétés privées). Avant la crise du phylloxéra, les pentes de Vassange produisaient un pinot blanc réputé.